Nous n’avons pas choisi d’être dépendants
Posté par kabylie libre le 5 octobre 2010
Par: Zira
L’occultation, le déni, la persécution ne suffiraient donc pas, au gré de certains, qu’ils y ajoutent leur part de flou? De grâce, frères kabyles, par respect pour la vérité historique, à l’usage des générations futures, ne cherchez à réhabiliter aucun tyran. Je suis choquée par la rumeur qui circule en ce moment, et qui dédouanerait le Président Boumediène d’un quelconque interdit de la langue amazighe. La Kabylie est en train de subir la destruction totale de son identité, et l’on veut faire croire qu’un président issu de ce même système, tenant de la même idéologie aurait été un amazighophile? On accable aisément l’illustre Saïd Sadi de tous les maux, mais le tyran Boumediène trouve grâce aux yeux de certains. Il est vrai que nous sommes atteints du sentiment de repentance et de culpabilité; mais il faut comprendre que tout n’est pas de notre faute! Quand un espace est miné et infesté d’animaux sauvages et dangereux, il est facile de dire qu’on est libre d’y accéder…
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